Moi l'internat, donc je dépends d'Angers.
Je suis venu sur Cholet assez rapidement parce que ça me rapprochait de chez moi.
Au premier semestre donc, de ces trois ans, j'ai pris la médecine d'urgence au Centre hospitalier.
Et puis finalement, comme ça m'a plu, comme je me suis fait des attaches là bas, j'ai pas mal continué.
Déjà, essayer de rester dans le même territoire.
Donc finalement j'ai pris pas mal de stages sur Cholet et ses alentours.
Le CH, je l'ai trouvé à taille humaine, c'est-à-dire que c'est pas quelque chose de trop important mais c'est pas trop petit non plus, ce qui fait qu'il y a quand même pas mal de spécialités.
Ce qui permet d'exercer la médecine, en tout cas moi comme je l'entends, c'est-à-dire pouvoir avoir des avis assez rapidement, des avis spécialisés bien avisés et pouvoir avancer comme ça sur les dossiers de patients de manière coordonnée.
Et puis en cas de doute, pouvoir faire appel à quelqu'un de plus compétent que nous en fonction des questions.
J'envisage largement de travailler dans le Choletais et notamment sur le Centre hospitalier.
Ça a eu le temps de mûrir parce que je n'ai pas fait que Cholet non plus comme Centre hospitalier, mais effectivement, en comparant et puis ensuite en me disant voilà, je connais les professionnels, je connais l'environnement, il y a tel service qui m'attire, j'y ai déjà travaillé.
Donc forcément, ça c'est quand même des éléments qui rentrent en compte.
Il y a aussi le côté ville moyenne qui peut être aussi rassurant.
Et puis pour terminer, je dirais qu'effectivement il y a quand même aussi une volonté de dynamisme.
On nous incite à venir effectivement dans le Choletais sur la base d'arguments qui sont tout à fait vrais.
On parle beaucoup de sport, d'attractivité, de dynamisme du territoire.
On sent que le territoire et ses représentants ont envie de nous accueillir.
Donc il y a aussi ce côté un petit peu gratifiant qui fait quand même plaisir.
On est les bienvenus quoi.